Errance, déserrance...
C'est fou ma Sucrette, j'ai encore envie de me plaindre du temps qui coule et qui me file entre les doigts. Tu ne vas pas ma dire que c'est la vie de couple qui monopolise mon temps à ce point? Toujours qu'en 2007, communiques sur ton blog...
Donc bilan de fin d'année.
Fêtes de famille calmes, étonnamment calmes. Pas le moindre nuage gris à l'horizon de mes relations familiales. J'en avais presque perdu l'habitude.
Nouvel an assez drôle, en costume de gorille dans les rues du XI° arrondissement. Pas vraiment de dancefloor mais une bonne raclette à la place (non, ça ne remplace pas vraiment un DJ et Madonna, mais je ne pouvais pas être exigent).
Bilan de début d'année.
Je ne serai pas encore viré. Il va juste falloir que j'améliore mon "contact client". Si seulement ça pouvait se résumer à des rapports buco-génitaux, mais en l'occurence je ne pense pas que mon patron ait pensé à ça précisément. Donc en 2007, plus de courbettes, de sourires, de "hahahaha", de "vous avez tout à fait raison, c'est une couleur dont on ne se lasse pas". Je finirai par y croire un jour, je pense.
Et puis des sorties entre Apaches. Une galette (merci Dan), un bar de rockers crasseux (mais pas mal foutus... c'est navrant qu'ils se négligent ces gens là), un appareil photo... Bref de la franche déconne.
Un retour aux sources avec plongée au coeur du musée d'Orsay. J'avais choisi mon jour pour être sûr de trouver les gens que j'aimais bien. On oublie vite à quel point on a pu détester des gens sans intérêt. Globalement un vrai plaisir de retrouver cet endroit, ma salle de pause, des collègues.
Voilà pour le dessin rapide de ces dernières semaines. Il va encore falloir que j'écrive à mon grand-père et à ma marraine pour la nouvelle année. Ah oui.... en 2007, écris à la famille par acquis de culpabilité.
5 Comments:
Alors, mon bilan de début d'année est surtout marqué par une révélation : une petite chose aussi fragile que moi n'est pas faite pour le travail, mais uniquement pour le plaisir...
ma grande, si tu veux mon avis, tu t'assumes, tout simplement! Au fond de toi tu as toujours connu cette vérité, et tu oses à peine t'y confronter. Mais toi comme moi avons toujours été conscient n'avoir jamais été faits pour le labeur.
on fait un coming out des feignasses lubriques ?
ma vieille, ça fait tellement qu'on est outé toi et moi côté glande décomplexée! Le truc idéal serait d'en faire une activité rémunérée... laisse moi réfléchir... Galériste!
JL de Quimper, de passage...
"Déserrance" ? Merci de m'éclairer sur ce mot étrangement apparenté à "déshérence" mais qui, lui, serait bien difficile à inscrire dans votre billet.
Cordialement.
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